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Cependant, J.Claude est prêt à beaucoup, pour dénoncer le chaos qu'engendre la dictature Kabila. Il entre donc dans la clandestinité la plus totale pour continuer son combat. Maintenant, c'est un homme à abattre pour le régime. En décembre 1999, il prend la décision de franchir la frontière qui sépare le Congo Kinshasa du Congo Brazzaville. De l'autre côté, il demande à être protégé, aidé... Pourtant, la galère continue sur l'autre rive. La dictature est partout, et lui, tout seul. Il décide donc d'en référer autrement, et met cette fois-ci, un organisme beaucoup plus haut placé au courant. Il en réfère à la Communauté Internationale. Mais à l'autre bout du monde aussi, on le laisse seul, seul pour dénoncer l'horreur de tout un pays. Le journal qui informait la population est désormais : l'ennemi numéro un et le journaliste l'homme à abattre.

Mais il reste une chance à J.Claude. Son père avait fait parvenir une demande pour être accueilli en France, mettant en avant le non respect des Droits de l'Homme dans son pays. La réponse, parvient trop tard, le père de J.Claude a été assassiné quelque temps avant. Pourtant, il reste un espoir au journaliste de sortir de cette misère quotidienne. Le gouvernement fait la sourde oreille aux appels à l'aide des réfugiés, l'évacuation ne vient pas...

J.Claude reprend le chemin du Congo Brazzaville après s'en être éloigné suite à une tentative d'assassinat en 2oo1. Il tient à suivre le chemin de son père en continuant d’informer la population, quoi qu’il en coûte. Mais il doit bientôt renoncer à vivre dans la clandestinité, le gouvernement le retrouve toujours et c’est à chaque fois de nouveaux enlèvements et de nouvelles tentatives d’assassinats qu’il doit éviter.
Il ne reste plus qu’une solution, sortir du pays.